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  La santé, c'est dans ma nature...
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Katleen Chambers

Katleen Chambers

Bienvenue dans mon blog santé!

Je vous révélerai au fil du temps tous les nouvelles informations que j'ai découvertes pour vous afin que nous puissons ensemble mieux s'informer et obtenir une santé optimale. Voici mes derniers articles....   Bonne lecture!

Organe de l'olfaction le nez est la partie du corps de forme pyramidale qui fait saillie au milieu du visage, entre la bouche et le front, qui sert de conduit respiratoire et qui participe à la fonction respiratoire et à l'odorat grâce à ses récepteurs olfactifs.

Le nez et l'olfaction

Les fosses nasales constituent l'étage supérieur des voies respiratoires : elles s'ouvrent à la fois vers l'extérieur (narines) et vers le pharynx (narines internes, ou choanes). Elles ont une forme irrégulière due à l'existence de trois cornets osseux, et communiquent par de petits orifices avec les sinus des os avoisinants : frontal, ethmoïde, sphénoïde, maxillaires.
La muqueuse qui tapisse les fosses nasales est riche en vaisseaux sanguins, d'où sa couleur rose. Elle renferme de nombreuses glandes à mucus qui la maintiennent constamment humide. Cette muqueuse réchauffe, humidifie et filtre partiellement l'air inspiré.
À la muqueuse rose s'oppose la muqueuse jaune, à rôle sensoriel. Celle-ci forme sur le cornet supérieur une tache de l'ordre du centimètre carré. Elle est pauvre en vaisseaux et en glandes, mais elle contient les terminaisons nerveuses du nerf olfactif.
Cette zone olfactive est sensible à certaines substances solubles dans le mucus nasal. Quand le mucus est rare (par temps sec), l'olfaction est moins bonne. Quand, au contraire, le mucus est trop abondant (en cas de rhume), l'odorat disparaît quasiment.

Les vibrisses (en latin vibrissa : poils du nez, en anglais vibrissa) sont des poils implantés à l'intérieur des narines. Ils sont situés à l'intérieur de l'entrée des narines afin de filtrer les grosses particules.

La gorge est la partie du cou antérieure à la colonne vertébrale. Elle consiste en deux parties : le pharynx et le larynx.

Le pharynx

Le pharynx est un carrefour aéro-digestif entre les voies aériennes (de la cavité nasale au larynx) et les voies digestives (de la cavité buccale ou bouche à l'œsophage). On rencontre également à son niveau l'ouverture de la trompe d'Eustache ou tube auditif, qui le met en communication avec l'oreille moyenne au niveau de la caisse du tympan.
Le pharynx intervient dans :

  • La déglutition
  • La respiration
  • La phonation
  • L'audition

Le larynx

Le larynx est situé après la jonction du pharynx. Il est l'intermédiaire entre le pharynx et la trachée et abrite les cordes vocales. Il fait partie des voies aériennes supérieures. Larynx est issu du Grec larunx : gosier.
Le larynx assume quatre fonctions :

  • une fonction respiratoire, faisant partie intégrante des voies respiratoires ;
  • un rôle dans la déglutition: sa fermeture protège les voies aériennes inférieures ;
  • organe de la production de sons. Son rôle phonatoire est très important, bien que non vital ;
  • blocage.


 

Le diaphragme est un muscle situé entre le thorax et l'abdomen. Il se contracte lors de l'inspiration et se décontracte lors de l'expiration. Le diaphragme est une vaste nappe musculaire qui ferme le thorax en bas et la cavité abdominale en haut.
C'est un muscle digastrique à ventres opposés. Constitué de deux hémicoupoles droite et gauche à convexité supérieure relié par une dépression fibreuse à concavité supérieure. Il est lié grâce à un nerf à la partie inférieur du bulbe rachidien qui lui permet le mouvement respiratoire.
C'est un des seuls muscles dont on peut contrôler la contraction (comme les muscles striés), de même qu'il se contracte indépendamment comme les muscles lisses. L'abdomen est comprimé par la contraction du diaphragme durant l'inspiration et revient en place lors de l'expiration.

La ventilation

L'entrée et la sortie de l'air dans et hors des poumons résultent d'une différence de pression entre l'intérieur des poumons et l'atmosphère. Pour l'inspiration, cette différence est produite par l'expansion de la cage thoracique et des poumons, grâce à la contraction de groupes musculaires. Quant à l'expiration, elle est le plus souvent passive et obtenue par le simple retour de la cage thoracique à sa position initiale. Le rythme et la profondeur des mouvements respiratoires peuvent être influencés par la conscience: toutefois, la plupart du temps, la respiration est contrôlée de manière involontaire par des centres du tronc cérébral.

On appelle bronche un conduit qui apporte l'air riche en dioxygène depuis l'extérieur du corps dans les poumons. Elles se prolongent dans les poumons par de nombreuses ramifications appelées d'abord aussi bronches, puis bronchioles après un certain nombre de divisions.

Les bronches primaires

Les deux bronches primaires (une pour chaque poumon) se divisent en bronches secondaires.

Les bronches secondaires

Ces 5 bronches sont issues de la bronche primaire; chacune d'elles forme un réseau dans une zone déterminée du poumon; elles se divisent en plus petites bronches jusqu'aux bronchioles.

Les bronchioles

Partie terminale de l'arbre bronchique; lieu d'échange gazeux.

L'odorat

L'odorat, comme le goût, est un sens chimique qui détecte des molécules, les odeurs, flottant dans l'air. Les molécules odorantes sont captés par une zone de tissu épithélial spécialisé, située dans le haut de la cavité nasale. L'humain a un odorat beaucoup plus développé que le goût; on estime qu'il peut distinguer près de 10 000 substances dangereuses (fumées, gaz toxiques, etc.) et contribue à notre attirance pour les aliments ou les boissons. Ce sens s'affaiblit avec l'âge, à cause d'une altération de la muqueuse olfactive. Les enfants sont donc capables de détecter et de reconnaître un éventail d'odeurs beaucoup plus étendu que les personnes âgées.

Le toucher

Le toucher est associé à des récepteurs sensoriels microscopiques (fibres nerveuses spécialisées), disposés dans la peau et dans les tissus profonds. Certains récepteurs sont inclus dans des capsules de tissu conjonctif, tandis que d'autres sont nus. Il existe différents récepteurs , sensibles à des stimuli distincts (toucher léger, vibrations, pression, chaud, froid, divers stimuli douloureux). Ces récepteurs envoient leurs signaux jusqu'au cortex somato-sensoriel via la moelle épinière.

Le goût

Le goût fonctionne de manière comparable à l'odorat. Des cellules réceptrices gustatives détectent certaines substances chimiques dissoutes dans la salive, grâce au même phénomène de complémentarité molécule/récepteur. Les cellules gustatives sont regroupées dans les bourgeons du goût. Un enfant possède environ 10 000 bourgeons, mais ce nombre diminue avec l'âge. Les bourgeons sont principalement localisés au niveau des papilles, petites protubérances situées dans certaines régions de la langue, du palais et de l'épiglotte.

L'ouïe

Organes responsable de l'ouïe, les oreilles interviennent également dans la détection de la position et des accélérations: ces paramètres s'avèrent indispensables à l'équilibre.
L'oreille est semblable à un convertisseur d'énergie: elle transforme les ondes sonores en signaux nerveux électrochimiques. Généralement constituées d'une association complexe de diverses fréquences, les ondes sonores  font vibrer le tympan. Ces vibrations sont ensuite transmises aux osselets, qui agissent comme des pistons sur la fenêtre ovale. Les déplacements de cette dernière compriment la périlymphe, remplissant ainsi la cochlée, laquelle transfère son énergie vibratoire à l'organe de Corti, situé en son centre.

La vision

Les yeux envoient plus d'informations au cerveau que tous les autres sens réunis. Chaque nerf optique contient environ un million de fibres et on estime que plus de la moitié des sensations conscientes provient des yeux. Les rayons lumineux pénètrent dans l'œil par la cornée, de là, il s sont en partie réfractés. Ils passent ensuite à travers une lentille, le cristallin, dont la courbure se modifie jusqu'à ce que l'image formée sur la rétine soit nette. Poursuivant sa route, la lumière traverse l'humeur vitrée du globe oculaire et dessine, sur la rétine, une image inversée de la scène observée. La rétine est constituée de cent vingt millions de cônes et de sept millions de bâtonnets, qui permettent la conversion de l'énergie lumineuse en influx nerveux. Disposés sur la rétine, les bâtonnets sont stimulés par les faibles intensités lumineuses: en revanche, ils sont insensibles aux couleurs. Quant aux cônes, concentrés au niveau de la fovéa, ils nécessitent plus de lumière pour fonctionner que les bâtonnets et sont sensibles aux couleurs et aux détails. Les fibres nerveuses envoient les informations visuelles au cerveau.